La vie ça s'apprend, mais comment ?...[PV:Pharos]

La nuit tombait, et moi je me promenais, dans l'espoir de rencontrer un chien, car la nuit me faisais assez peur, et je pourrais me perdre, ce qui m'inquiètais terriblement. Dans ma tête , c'était simple, la même histoire se répétait, celle de mon enfance, quand je revois ma mère partir avec ce mot, c'était cela qui me rendait si triste. Je ne voyait pas le chemin que je parcourais, je regardais le sol, oui le sol, car les personnes de devant me faisais peur, c'était étrange, mais bien vrai. A part le fait de penser à ma mère, il me manquer quelque chose, ne serait-ce qu'un ami ?
Cela faisait longtemps que je marchais, et, sentant mes dernières forces lachées, je m'asseyai à côté d'un lampadaire qui venait de s'allumer à l'instant, cela voulais dire que la "vraie" nuit allait pointer le bout de son nez. La rue principale se vidait peu à peu, je passerais peut être la nuit ici, ce sera toujours mieux que de marcher et de se perdre dans la nuit pour trouver un endroit plus paisible.

Allez vous encore me demander ce que je faisais ici, moi, un chien de berger dans cette allée luxueuse du quartier nord ? Je n'avais aucune réponse à apporter, à vrai dire, je me contenais de me promener un peu, cependant, je n'aurais jamais imaginer ce quartier aussi grand et tout ces dédales de ruelles...La nuit m'avait pris de court, bon, tant pis, au moins ici, j'aurais moins de chance d'avoir des ennuis, oui car un chien comme moi, si on me voyait, on me prendrait pour un...je ne savais pas trop quoi en fait mais je doutais fortement que les chiens de riche apprécier les fermiers comme moi. Tout comme moi je n'étais pas taillé pour la luxure. Il n'y avait plus personne, il faisait sombre, seuls les lampadaires éclairaient mon chemin, mes vieilles pattes usées avaient bien besoin d'un peu de repos mais je ne pense pas qu'elles pourront tenir jusqu'au quartier Ouest. Ma langue pendait sur le côté de ma machoire, ce n'était plus de mon âge les randonnées dans les quartier voisins, surtout les tout grands comme celui ci.

La nuit était sombre et fraîche, je commencais à m'inquiétais, et avoir peur, mais le pire c'est que depuis un certain moment je veillais et je fixais une ombre à la silhouette d'un grand et robuste chien. Je ne savais pas trop, si je devais m'approcher, ou si je devais rester à ma place, mon coeur aller bientôt me répondre, du moins j'aimerais. Cette ombre n'était pas très rassurante, ni non plus très confiante. Le vent soufflé a pleine "dents" si je peut m'exprimmer ainsi. Comme si on était dans une rue hantée, alors hésitant un long moment, je commençai tout d'abbord à me levai, le vent soufflait tellement fort qu'il pourrait pratiquement me porté. Par le meilleur de momn courage, je m'approchai doucement, sur le bout de mes griffes pour ne pas interpellé le sommeil, si il dormait de ce chien qui plus ou mois m'effrayer. Quand je fis à un niveau convennable du chien après une grande inspiration je commenca à dire :

- Heu, bonsoir, vous dormez ?

Je voyais pas très bien dans l'obscurité, les lampadaires de lumière, on en avait pas à la campagne et je me demandais bien comment faisaient les humains pour voir avec ces trucs qui, pour ma part, étaient plus aveuglant qu'autre chose. Il devait aussi sans doute faire plus froid mais avec mon épais pelage, je ne sentais rien, il était juste un peu secoué par les rafales de vent saisonnières qui parcouraient la ruelle. Mes pattes commençaient à souffrir un peu à force de marcher, je décida donc de me poser quelques minutes et m'allongea sur le trottoir au pied d'un lampadaire avant de poser ma tête sur mes antérieurs. Je sentis une présence au bout d'un moment non loin de moi mais je décidas de ne pas y porter d'attention, peut-être juste un chat de passage mais si jamais c'était un molosse du quartier, autant l'ignorer pour améliorer les chances de ne pas se faire remarquer.

- Heu, bonsoir, vous dormez ?

Ce fut une voix de jeune chiot qui m'interpella, me faisait redresser la tête vers cette petite boule de poils blanche qui était venu à ma rencontre, je m'attendais à tout sauf à cette petite créature qui ne semblait pas très bien à sa place dans cette sombre ruelle, je me demandais s'il appartenait à ce quartier mais tout d'abord, je répondis à sa question en lui faisant un léger sourire pour le rassurer un peu car il maintenait une certaine distance :

- Si j'aurais répondu "oui", tu m'aurez cru ?

Mon sourire devint un sourire amusé à ma réflexion, autant détendre un peu l'atmosphère tendu et lugubre qui s'imposait.

Le grand chien m'avais un peu rassuré, avec la façon dont il parlait . je répondis :

-Heu...je sais pas...mais comment vous vous appellez ?

Avec la légère lumière du lampadaire qui éclairait le grand chien, je vis qu'il avait l'air de bien s'y connaître en matière de vie, j'ai tant de choses à apprendre sur la vie. Peut être que ce grand chien pourra m'aider à lire ce mot. Si il le fait, il aura une grande place dans mon coeur, celle de celui que je n'oublierais jamais. Ce chien avait un de ces regard rassurant, mon coeur ne battait plus à 300 km/h , mais il était détendu. Malgré les seules et premières paroles qu'il m'avait adressées, je savais qu'on allait bien s'entendre.

[hors RP] : Désoler pour la courte réponse...^^"

-Heu...je sais pas...mais comment vous vous appellez ?

- Mon nom est Pharos...Et toi petit ?

Je sentais le corps de ce chiot se détendre petit à petit, je savais que je pouvais paraître imposant avec ma carrure d'ours, mais de l'ours, j'en étais surtout qu'une peluche de nounours. Il était vrai que dans ma jeunesse j'aurais pu paraître moins sociable, et encore, je n'avais jamais été très agressif et surtout pas envers les jeunes, je ne me battais que pour ma meute et je le fais aujourd'hui encore si cela s'avérerait nécessaire, mais fort heureusement, nous étions plus ou moins en période de paix, si je pouvais appeler ça ainsi.

-Mon nom est Pharos...et toi petit ? (je n'ai pas la couleur grise ^^")

- Heu...je m'appelle... Chichou, on me considère comme petit parfait...sans vouloir me venter...

Ce certain "Pharos" était vraiment sympathique, je ne vois pas comment j'aurais pu tomber mieux. Sinon, la nuit montrait toute sa face, et la faible lumière des lampadaires éclairait le doux visage de mon nouvel ami. Dans ma tête je pensais peut être à quelque chose, qui m'arrangerait beaucoup, passer la nuit, contre la grosse "poule de poil de Pharos, mais il penserait fort que je suis un incappable et peureux. Je prit du courage et assez hésitant j'ajouta :

-Heu...j'ai si froid... je ne pourrais pas passer cette nuit "glaciale" auprès de vous... j'ai un petit peu peur ?

[HP : vraiment désoler pour la minie réponse !!! je n'ai pas eu trop le temps !!]

- Heu...je m'appelle... Chichou, on me considère comme petit parfait...sans vouloir me venter...

Le petit parfait ? C'était mignon comme surnom je trouvais mais je n'y voyais pas encore son sens car est-ce qu'un petit parfait viendrait se perdre la nuit dans les rues du quartier Nord ? Aha ! Je vous ai eu n'est ce pas ? J'observais ce petit bout qui n'avait pas l'odeur du quartier Nord de toute façon, voyons voir...Ah ! Le quartier Sud, oui donc le quartier complètement à l'opposé de celui ci en gros. Je connaissais peu de ce quartier mais je me rappellerais toujours de ce jour ou je me suis égaré dans les carcasses de trains, je m'étais fait attaqué par deux molosses et c'était mon Alpha qui m'avait porté secours, cette chienne deviendra quelqu'un, j'en étais persuadé...

-Heu...j'ai si froid... je ne pourrais pas passer cette nuit "glaciale" auprès de vous... j'ai un petit peu peur ?

Mon doux regard se posa sur la boule de poils qui me disait cela sur un ton incertain, pensez-vous vraiment que j'allais refuser ? Grâce à mon épaisse fourrure, il était impossible d'avoir froid une fois contre moi et ce petit visible perdu et effrayé des lieux avait tout aussi désespéré. Il était vrai qu'il faisait froid ce soir. Je le regardais puis afficha un sourire chaleureux avant de lui répondre de ma voix grave mais bienveillante :

- Viens contre moi...

(c'est simple, tu mets une couleur au pif et tu changes le nom en anglais, pour gris, c'est grey)

(pfff....j'suis trop nulle j'ai écrit le message avec MaÏacha , désoler ...)

-Viens contre moi...

Mes doux petits yeux de bébé si je peux le dire ainsi, avait sans faient un effet sur Pharos, ou pas d'ailleurs, car ce musclé et grand chien au visage sympathique et rassurant n'avait pas eu l'intention de refuser. Car le connaissant avec les peu de choses que j'avais plus ou moins remarquer.

-Merci, merci beaucoup...

Je m'avancai en faisant Le plus grand soin de ne pas faire le moindre geste qui pourrait pertuber cette situation si calme et sympa. Doucement, je m'allongai contre les flancs de Pharos en murmurant:
-Merci, merci encore....

Quelques secondes après pour ne pas passer une nuit blanche tout de même. Je fermai mes yeux délicatement. Malgré tout, je n'arrivais pas à vraiment m'endormir, demain je demanderais à Pharos de nombreuses, mais il ne fallait pas que je lui gache sa journée, comme même...

-Viens contre moi...
Mes doux petits yeux de bébé si je peux le dire ainsi, avait sans faient un effet sur Pharos, ou pas d'ailleurs, car ce musclé et grand chien au visage sympathique et rassurant n'avait pas eu l'intention de refuser. Car le connaissant avec les peu de choses que j'avais plus ou moins remarquer.

-Merci, merci beaucoup...

Je m'avancai en faisant Le plus grand soin de ne pas faire le moindre geste qui pourrait pertuber cette situation si calme et sympa. Doucement, je m'allongai contre les flancs de Pharos en murmurant:
-Merci, merci encore....

Quelques secondes après pour ne pas passer une nuit blanche tout de même. Je fermai mes yeux délicatement. Malgré tout, je n'arrivais pas à vraiment m'endormir, demain je demanderais à Pharos de nombreuses, mais il ne fallait pas que je lui gache sa journée, comme même...

-Merci, merci beaucoup...

Et il arriva vers moi, s'approchant assez délicatement tandis que moi, je restais impassible et patient, regardant les alentours de la ruelle jusqu'à ce que je sente le petit corps contre le mien.

-Merci, merci encore....

Je le regardais se coucher contre moi et tenter de dormir et j'avança mon museau vers lui, lui envoyant un souffle chaud sur son front puis à mon tour, je posa ma tête sur mes antérieurs, du côté du chiot et ferma les yeux pour tenter à mon tour de dormir, autant passé la nuit ici, de toute façon je n'aurais guère apprécier rentrer dans le noir.

Quelle chance d'avoir rencontré Pharos, comment aurais-je pu mieux tomber, vous en avez une idée, et bah pas moi ! Peu à peu je sentais le sommeil me prendre, et j'espère que ma rencontre n'est pas un rêve, , et je ne le pense pas, car la douce et longue fourrure de mon nouvel ami était bien là, bien contre moi, sinon j'aurais encore froid...

Le lendemain...

Quand la chaude et grosse lumière du soleil me réveilla, doucement je me relevai, et pour remercier le douce et agréable nuit que m'avais "offert" Pharos, je lui lécha l'antérieur en guise de remerciement.

-Merci, merci beaucoup, toi qui m'a tellement rassuré, comment t'oublierais-je ?
Pharos semblait encore être dans un profond sommeil, et n'avait sans doute pas entendu ma phrase, alors je décida de m'éloigner , sans trop bien sur , pour ne pas troubler les rêves de ce cher Pharos ...

Le matin finit par se lever, le changement de lumière réveilla mon vieux corps encore engourdit par le sommeil. Mes yeux s'ouvrirent lentement et je me mis à bailler à m'en décrocher la mâchoire, dévoilant mes imposants crocs qui n'avaient rien perdu de leur atout malgré la vieillesse, aujourd'hui encore, il ne fallait mieux pas s'y frotter. Mon regard se posa sur le jeune chiot qui avait passé la nuit avec moi, il était en train de partir mais je le regardais curieusement, comme si je me disais qu'un petit tel que lui devrait surtout penser à rentrer chez lui avant d'avoir des ennuis. Je me leva et m'étira paresseusement avant de secouer ma fourrure et de rejoindre le petit à grand pas.

Je voyai Pharos qui s'était levé. Ma truffe quitta le sol (et oui je reniflais par terre, cela vous dérange ?), et me yeux venaient de percevoir le chien de berger.

-Bonjour Pharos, tu as passé une bonne nuit ?

Je trottinais alors vers mon généreux ami, gaiement . J'hésitais encore à lui demander si il pouvait m'aider à lire le mot que m'avait malheureusement laissé ma mère. Il m'avais rendu tant de service,il ne mériterais pas d'en recevoir un autre. Car, je ne lui ai pour le moment rendu aucun service, et j'aimerais bien le faire d'ailleurs.

-Bonjour Pharos, tu as passé une bonne nuit ?

- Bonjour petit, oui et toi ?

Il m'avait rejoint, l'air jovial tandis que moi j'avançais vers lui calmement, histoire de laisser du temps à mon corps pour se réveiller complétement. Les ruelles bien éclairée par ce soleil matinale commençaient déjà à être pas mal fréquenter par la population locale ainsi que des chiens bien évidemment. Je regardais tout ce petit monde autour de nous puis entama la marche pour quitter les lieux, ni moi ni Chichou n'avaient à traîner ici, il était temps de retourner vers nos quartiers d'origine.

Mes pattes étaient comme neuves, si je peux le dire ainsi, il y a avait une bombe en moi, j'étais en pleine forme ! Il était temps de partir alors avant de me retourner je dis :

-Au revoir, Pharos, j'espère te revoir un jour !

J'adressai un leger clin d'oeil a mon ami qui m'avait rendu tant de services, je n'allais peut être pas lui redire encore une fois merci, cela l'avait peut être agaçé, mais en guise de politesse je fis comme même :

-Merci Encore !

Après mon remerciement, je quittai les lieux, en espérant retrouver mon chemin, j'avais encore appris quelque chose de la vie, il y auras toujours une surprise, quand on ne s'y attendra pas ...

[Chichou quitte le Rp, et remercie Pharos pour ces merveilleux moments passés dans ce RP]

» Pharos l'Ancien
» Une nouvelle rencontre . (Libre mais prio à Canelle.)
» cadow's pour le forum , mais surtout pour la merveilleuse Luna♥
» Maïcha, la belle, la très belle, mais surtout la rebelle...