À la recherche des amis (Eddie)

Depuis la rencontre avec Falco, je me promenais surtout à la recherche d'amis car je me sentais comme même bien seule, j'étais dans une terre neutre je penses et surtout dns une vieil maison, un peu d'exploration ne me fera pas du mal et qui c'est, je trouverai peut être un chien ou chienne avec qui je pourrais être ami ou jouer. J'étais dans le hall enfin plutôt à ce que ressemblait plus ou moins hall. Je me promenais vers l'étage au dessus et je m'amuser regarder et a penser à quoi pouvait ressembler la maison autrefois. J'étais dans une chambre et le lit était encore moelleux, je me coucha dessus après avoir fait un brin de nettoyage avec ma queue.

Tu ne m'auras pas ! Tu ne m'auras pas ! Hum ? Ah pardon, oui désolé, j'étais en pleine course poursuite alors j'avais pas beaucoup de temps pour bavarder, veuillez patienter un instant merci ! Je traçais à la vitesse de l'éclair le petit parc de ce quartier sans élégance avec à mes trousses une vilaine bonne femme qui courait à la vitesse d'un escargot dérapant sur une patinoire, drôle de comparaison...Enfin bref. Elle tenait dans ses mains une sorte de larcin destiné à être imposé autour de mon cou pour m'immobiliser et me conduire à la fourrière aussi sec mais vous voulez que je vous dise ? Il n'est pas né celui qui arrivera à attraper Eddie !

Entre mes crocs, un bon sandwich dérobé au marchant ambulant du parc, il y avait de bonnes grosses tranches de jambon à l'intérieur miam ! A la vitesse à laquelle je pourfendais l'herbe des lieux, ma fourrure était plaquée en arrière sur mon corps et ma queue voltiger derrière moi en gouvernail, un peu comme les guépards quand ils sont en chasse ! Mais là, je revenais de la chasse et c'était maintenant moi qui était chassé ! Enfin, autant dire pour cette vieille harpie qu'elle avait déjà perdue d'avance, je me demandais d'ailleurs comment cela se faisait-il qu'elle n'ai pas encore compris qu'elle n'aurait aucune chance ?

Ah, j'arrivais à un grillages qui délimitait une partie du parc. J'avais tout naturellement fait un trou en dessous par précaution, une sorte de porte de secours pour mes moments d'évasion. Je me glissa aussitôt entre la terre et le rebord du grillage qui me gratta le dos au passage, je me retrouva tranquillement de l'autre côté tandis que la vieille folle fonça droit dans la barrière sans avoir eut le temps de freiner sa course, bien fait ! Je me dirigea ensuite dans mon petit repère situé dans les terres neutres, là bas au moins je serais tranquille ! Aaah mes copains ! Comment ça va ? Oui en effet, un boxer, un setter gordon et un croisé shiba inu vinrent à ma rencontre, je les salua tout naturellement mais venaient-ils pour mon butin ? Je montra aussitôt les crocs, pas touche c'était à moi !

Je pense qu'ils ont compris, ils n'insistèrent pas, mais je vais être gentil cette fois, je dévora tout le jambon et leur fit cadeau du pain, faites-en ce que vous voulez ! Ce n'était pas aussi bon que la viande, ça c'était sûr mais comme ils avaient faim, ils se jetèrent dessus comme des morfales, je les regardais d'un air amusé, ah, Placo le croisé shiba avait dégoté le gros lot ! Trève de bavardage, il était temps de prendre un peu de repos. Ce fut donc accompagné de mes trois compères de l'instant que je me dirigea vers une vieille maison délabrée, un endroit sans envergure mais on y était bien mine de rien.

Tout à coup, une odeur inconnue nous arrêta sur le chemin, quelqu'un avait osé entrer chez nous ? Ou du moins, quelque part ou il n'aurait jamais du entrer. Cependant, je ne pris pas mal la chose, au contraire, un sourire narquois traversa mon visage comme une lame de fer chauffé à blanc, je pense que nous allons bien nous amuser n'est ce pas ? Mes camarades m'envoyèrent des regards complices et nous quatre entrâmes dans la vieille bâtisse. Nous suivions l'odeur, elle monta à l'étage et plus précisément dans une ancienne chambre et là, oh surprise ! Un petit chiot de rien du tout était affalé sur un vieux lit miteux et poussiéreux. Un rire mauvais s'échappa de moi, je m'adressa à mes compères :

- Tiens tiens, voyez un peu ce que le vent nous amène !

Je m'étais endormie sur le lit car je manquais aussi de sommeil. Je n'ai pas entendu les autres chiens arrivés, j'étais trop bien endormie à vrai dire ni de ce qu'il disait, je rêvais encore de ma naissance, je me souviens que tout le monde heureux de me voir naître surtout mes parents qui étaient tellement heureux mais maman était fatiguer sûrement à normal à cause de l'accouchement car celadoitnetre fatiguant et puis aussi je me souviens des rire, des jeux et tout cela.,et puis les courses de traîneaux, c'était le bon vieux temps enfin pas si vieux que sa n'empêche. Je me souviens de Jordan, mon maître de 16 ans qui étaient tout pour moi et qui l'adorait comme mes parents, il m'avaient mis un traîneau de gosse autogéré je l'avais tirer sans problème.

Je couinait de contentement, enfin que je suis heureuse,quoi ! C'était tellement beau cet époque de m vie....

La petite chienne de race husky était en train de roupiller comme si elle était chez elle dans ce vieux matela déconfit. Je l'observais, oh comme c'était mignon tout plein, un petit qui dormait là, bien tranquillement, elle avait l'air heureuse en plus, mes compères la regardaient aussi, c'était si attendrissant, bien dorloté dans ce lit qui avait l'air d'avoir conservé tout son moelleux, il y avait même encore la couverture ! Et la petite puce que voilà était assoupi dessus comme un bébé, enfin, s'en était presque un non ? Elle couinait de bonheur, oui j'avais deviner que c'était une petite demoiselle avec une bouille toute craquante...Je m'avançais vers elle à pas furtif, il ne fallait pas briser le sommeil de ce petit ange hein ! Ma tête s'approcha d'elle, je pouvais sentir son souffle doux et chaleureux, ma gueule s'ouvrit légèrement face à la couverture si confortable que je pris délicatement entre mes crocs...

Et HOP LA !! D'un geste large de la tête, je tira brusquement la couette qui s'extirpa du lit en faisant faire un vol plané à son occupante pour un atterrissage forcé sur le sol sale du parquet pourrit de la chambre sous le fou rire de mes trois camarades tandis que je relâchais aussitôt ce tissu de mes crocs avant de revenir vers eux pour assister au paisible réveil de la belle au bois dormant que le baiser m'avait quelque peu répugné alors j'avais été contraint d'utiliser une autre méthode qui, ma foi, était bien plus drôle !

je me réveillais en sursaut. J'étais coucher par terre et j'entendis ricaner de l'autre côté. Leur odeur me disait qu'ils étaient 4. Je m'approchais sans rien dire deux puis je m'excusais avant de quitter la pièce, qui c'est... C'était peut très chez eux après tout, ils avaient raison alors de me réveiller brusquement. Je descendais les escaliers sans rien dire en regardant une dernière fois vers la pièce ou ils étaient. Ensuite je partis en dessous et regardait vers la sortie, j'ai trouvés des chiens mais ils m'aiment pas je penses et je leur comprends.

Cette gamine avait enfin refait surface mais elle garda un profond silence, sans doute encore sonné par son baptême de l'air. Elle s'avança finalement vers nous après s'être relevé et s'excusa. Ooh, quelle charmante intention que voilà ! Nos sourires sarcastiques n'en furent que plus éblouis. Chacun de nous l'a suivirent du regard alors qu'elle s'éloigna finalement et descendit les escaliers qui menaient au rez-de-chaussée. Nous l'avions plus dans notre champ de vision mais nos regards complices se croisèrent.

Ainsi, moi Eddie, Placo, Ethan et Kartor, nous prîmes le même chemin que la petite miss, c'est à dire les escaliers, des escaliers que nous dévalons deux fois plus vite avec nos grandes pattes par rapport à la descente de la husky. Une fois en bas, nous l'apercevions qui jetait un regard vers la porte qui menait à dehors mais n'y alla pas, tant mieux ! Nous on avait envie de nous dégourdir les pattes avec elle et puis comme ça qui sait, elle comprendra qu'il faut réfléchir à deux fois avant de pénétrer les terres neutres !.

Ni de un, ni de deux, je saisis la queue du chiot entre mes crocs sous les encouragements des mes copains et comme j'avais la gueule pleine, Placo se chargea de dire :

- Attends une minute petite, te sauve pas comme ça, on en a pas finit avec toi !

Les autres riaient de bon coeur, Ethan le boxer et Kartor le setter gordon, c'était la fête pour tout le monde. Placo, le croisé shiba était le plus jeune d'entre nous, il avait dans les alentours de 6 ou 7 mois d'âge (15 ans), il agitait avec une réelle joie sa queue recourbé digne d'un vrai shiba si son sang croisé ne lui avait pas donné un poils plus hirsute, une oreille en coquillette et un pelage gris loup. Je traînais la petite chienne à reculons, la tenant toujours par la queue, je remontais les escaliers en la laissant se débrouiller pour se faire le moins mal possible avec les marches, ce n'était pas mon affaire ça et mes compères suivaient la marche.

Je me suis fais prendre par la queue et on me ramena en haut, je marchais en arrière donc je me faisais pas mal mais je ne dis rien simplement ma tête est baissée, je ne savais pas ce qu'ils veulent faire de moi mais je sens le pire, on est en haut et je me demandais ce qui va m'arriver, îles allèrent pas commodes, Luna....Falco... Venez si vous plaît, je me sens mal.... Enfin je vais finir mal.... Je le sens mais chut... On va voir ce qu'ils vont me faire. Je restais comme j'étais sans rien dire, les deux amis du cellule tirait le suivait avec un sourire sadique, enfin j'aurais cru voir cela.

Oh elle se laissait faire, ma foi, ça sera plus facile pour nous ! Nous retournons donc ensemble à l'étage et ce fut seulement maintenant que je lâcha la queue de la husky. Kartor roulait les mécaniques devant les escaliers avant d'empêcher la petite de descendre, mes deux autres compères s'occupaient de ne pas lui laisser la moindre sortie pour s'échapper, quoi qu'elle ne semblait pas très inquiète de son sort celle là. Elle n'avait peut-être pas tord, elle était encore jeune alors il était certain je ne n'allais pas euh...Non enfin bref, je n'avais pas de limite en fait !

Histoire d'effrayer la gamine, les autres retroussèrent leur babines en dévoilant leur grands crocs blanc en hérissant un peu le poils. Moi je ne faisais pas ça j'étais occupé à...Oh revoilà la couverture ! Je l'avais récupéré et étaler sur le sol puis j'aggripa le chiot entre mes crocs pour la mettre au milieu de la couette et là, les trois autres prirent chacun un des coins de la couverture et les rapprochèrent entre eux pour enfermer la petite dans ce qui était devenu un sac fait par une couverture. Ensemble, nous faisons un nœud avec les quatre recoins, et voilà un bon paquet à baluchon ! Qu'allons nous en faire maintenant ? Ah j'ai trouvé ! Il y avait sur un mur de la maison, côté extérieur, une planche de parquet qui ressortait et c'était juste en dessous de la fenêtre de la chambre, cela faisait un peu comme les planches dans un bateau pirate !

Eh oh moussaillon ! Hissez la marchandise ! La fenêtre était ouverte, ou plutôt, n'avait pas de vitre alors je bondis sur cette planche qui avait l'air stable, le noeud de la couverture entre mes crocs, j'avançais prudemment jusqu'au bout, les autres m'encourageais et riait d'avance du sale coup. Une fois arrivé, je passa le bout de la planche entre le noeud et le tissu de la couverture et voilà, le tour était joué, voilà un bon colis qui pendouillait à une planche à quelque hauteur du sol, pas très haut non plus, je dirais...deux à trois mètres. Je regagna l'intérieur de la maison en m’esclaffant, et voilà les enfants, le spectacle était terminé, merci d'être venu !

Il me faisait enfermer d'un là couverture et s'en servit comme dans un sac, je regardais par un petit trou de la couverture et je découvris que j'étais suspendue en l'air. Glups, je ne dis rien et je me recrovilla dans la couverture. Je n'osais pas bouger e peur que je glisse et une chute étant petite c'est soit la mort, soit un très très gros enfin une blessure grave, je ne savais pas quoi faire comme j'étais coincée. Je tremblais de peur tout en restant dans la couverture. Jaurais aimer hurler pour appeler Luna ou Falco mais j'étais trop loin de leur territoire je penses....

Nous quittons donc ensemble la vieille maison et allons nous installer un peu plus loin pour avoir vu sur la scène, on ne savait jamais, peut être allait-il se passer quelque chose ! Je me coucha donc dans l'herbe devant un vieux banc tandis que mes compères s'assirent ou restèrent du moins dans le périmètre, un regard tantôt sur le sac, tantôt ailleurs, discution, taquinerie, en attendant que les choses se passent avec un peu de chance, sinon, ben, ça serait ennuyeux et elle servira de repas aux corbeaux. Hum...j'étais morbide des fois...

Je me coucha donc dans le sac qui semblait de ne pas tomber et je rêvassais. En attendant que quelque chose se passe. Je repensa à mon enfance en Sibérie auprès de mes parents et de mes maîtres si gentils avec moi. J me souviens que il y avait de l'orage et mes maîtres m'ont prise dans les couettes tandis que mes parents étaient au pied du lit. Le petit garçon n'était pas la, c'était pour cela que je dormais dans la chambre de mes mzitre. L bon vieux temps... La planche resta solide malgré mon poid et heureusement.

Le temps passait paresseusement mais rien ne se produisit comme je l'espérais, tout était ennuyeux et dommage, j'aurais bien aimé voir quelque chose mais la petite devait sans doute être paralyser par la peur, seule cette pensée me consola un peu de l'ennui au final. Je fis un signe de tête à mes trois compères, ils hochèrent la tête positivement, pas besoin de leur faire un dessin pour leur faire comprendre qu'il était temps de mettre un terme à tout cela, ça serait tout de même un crime de laisser un chiot en pâture aux corbeaux. Je me leva et retourna dans la maison, suivit de près par Placo, Kartor et Ethan.

Nous montons l'étage et retournèrent dans la chambre jusqu'à la fenêtre, puisque rien ne se passait, c'était à moi de faire les choses, comme dit le dicton, on était jamais mieux servit que par sois même ! Je me lança donc de nouveau sur la planche mais juste mes deux pattes avant, le reste du corps restant dans la maison. Puis avec force, je donnais des coups dans la planche avec mes pattes, la faisant vibrer, bouger, basculer. La planche était solide, elle ne cassera pas et là n'était pas mon but, en revanche, le sac de couverture commençait à glisser tout doucement vers le bout de la planche, bientôt, elle tombera d'elle même.

Je sentis le sac bouger, je me doutais bien que c'était un des trois chiens qui ululaient le faire tomber. Elle sac tomba mais je saura avant et je brisa une fenêtre, je roulais un peu au rez de chaussez de la maison. Je me leva et regardait autour de moi pour le cacher, je ne veux pas encore passer dans leurs jeux débiles. Je me cachais en dessous du fauteuil en ayant tirer unie couverture déjà par terre pour cachez mon odeur. C'était mon père, qui m'avait après cela pour masquer ton odeur, s'enrouler d'un vêtement ou de quelque chose qui était dans la maison.

Mon regard était fixé sur la tombée du sac mais je pu apercevoir la chienne en sortir et briser une fenetre du rez de chaussée pour retourner dans la maison. Aussitôt, mes trois compères et moi meme descendirent les escaliers là ou la chienne était allée. Je m'avança vers la fenêtre briser et flaira l'odeur de la petite qui était encore dans l'air, elle avait du se cacher quelque part dans cette pièce, cool, une partie de cache-cache ! Mais mon odorat n'était pas des meilleurs, surtout pour pister cette petite proie et pour cela, je ne voyais qu'un seul chien qui pouvait faire des miracles :

- Kartor ! Retrouve la moi !

Il approuva d'un signe de tête, ce brave setter gordon. Alors pourquoi lui me direz vous, parce que tout simplement, c'était un chien de chasse, et de loin, l'un des meilleurs, pister du gibiers dans les hautes herbes, dans les fourrés, dans la forêt, dans les montagnes, rien ne lui échapper, il avait l'odorat le plus expérimenté de tous et de loin, un instinct de chasseur inébranlable sans parler de son savoir faire. Ce fut alors que Kartor, la truffe au sol, parcouru les lieux, il repéra l'odeur de la petite au pied de la fenêtre brisée et la suivit sous nos regards patients. Il s'arrêta un moment devant une trace au sol, une trace au rebord carrée qui avait empêcher la poussière de se poser là durant des années jusqu'à maintenant, sans doute une couverture ou quelque chose du même genre. Notre fin limier perçu alors l'odeur de la chienne se stopper à ce niveau là et décida alors intelligemment de poursuivre avec l'odeur du vieux tissu sale qui l'entraîna sous un fauteuil où il se baissa pour voir enfin cette couverture roulée en boule avec un l'intérieur...

J'arriva à ses côtés après son signal et me pencha sous le fauteuil pour saisir la couverture entre mes crocs et la retirer d'un coup sec hors de sa cachette avant de la défaire et de faire tomber la petite femelle au sol, tadam !

- Comme on se retrouve !

Bon, je filais en dessous du fauteuil car ils étaient trop gros pour passer et il n'arriveraient pas à matraquer la queue ou quoi ce que soit car je ne restais pas que la, je bougeais tout le temps et je cherchais des endroits petits pour moi que je suis la seule a passer. Bon... On réessaye, je marchais toujours,en dessous du fauteuil en faisant gaffe aux autres...bon... Je restais ainsi au fauteuil mais j'ai pu apercevoir une commode assez lourde....ils ne pourront rien faire et j'aurais assez de place pour me cacher et,pour restais bien au fond... À cette taille la...je serai la seule z passer des trois chiens.

La petite husky essayait de s'enfuir ? Comme c'est meuuugnon ! Elle fila en dessous d'un vieux fauteuil miteux, bien évidemment, aucuns de nous quatre pouvaient passer pour la rattraper. On essayait bien en nous mettant à plat ventre mais elle bougeait tout le temps. Tandis que les trois autres tentaient de l'atteindre, moi, j'agrippa un bout du fauteuil et le tira le plus fort possible pour dégager la chienne et bientôt, elle fut visible et alors que je m'apprêtais à l'attraper, elle esquiva et se rua en direction d'une grosse commode mais fort heureusement, Placo, le plus rapide et agile d'entre nous, s'interposa et empêcha tout accès à la petite à la commode en agitant sa queue enroulée de shiba inu, tout fier de sa rapidité. Nous autres en profitons pour cerner le chiot et l'encercler pour lui bloquer tout moyen de sortie.

Je regardais le chien qui sinterposa avec la commode. Bon....je regardais les chiens m'entourer. Bon réfléchis et en vitesses! Je continuai de regarder autour de moi, une faille, enfin uelque chose quoi. Je regardais en dessous de moi...rien....simplement du plancher....du plancher pourris qui demande qu'à céder. Je sauras de toute mes forces et celle-ci se cassa. Je fis une longue chute mais je pensais que j'allais mourir mais je tombas sur un vieux matelas. Je regardais ou j'étais... Une cave ! Ok... Bon une fenêtre ? Owiiii ! Je montz jusqu'à la petite fenêtre. Et je la poussa avec ma truffe. Coincer ! Bon... Je recula et courra vers la fenêtre et bling ! Je l'ai casser mais j'étais en sang. Je courras en vitesse vers mon quartier ou j'étais le plus sûr.

(je penses que tu peux encore rep et après on devra clore le sujet comme miss est dans son quartier. Enfin direction donc tout près.)

Elle était enfin encerclé et je comptais bien lui régler son compte une bonne fois pour toute mais soudain, le plancher se brisa sous ses pattes et la petite husky tomba dans la cave souterraine, par chance, sur un matela, ouf ! Je n'aurais pas aimé avoir sa mort sur la conscience...Bref, elle s'en était tiré non ? Alors nous pouvions reprendre ! Seulement, nous étions pas idiot au point de sauter dans le gouffre et nous empruntons les escaliers prévu pour descendre à la cave mais le temps que nous y arrivons, le chiot s'était sauvé en brisant une fenêtre, dommage, on s'amusait bien ! Mais qu'elle ne s'en fasse pas...

- On se reverra !!