Tous ce qu'il faut pour s'éclater ! [ libre ]

Je suis dans une vielle maison ! Super, il y a toujours, ou presque pleins de trucs intéressants ! Des choses à manger, à chasser, à fouiller, à trouver ect. C'est cool ! Haha, je vais m'éclater là ! Je commence à explorer l'endroit, trainer mon nez un peu partout courir après les souris et j'en passe. Bon, bas la j'ai faim. Tiens ! Une boîte de conserve de ravioli ! Je vais me régaler ! Je me jette sur cette dernière, donne un bon coup de langue. Puis, une tête de dégoût s'afficha.

C'était tous sec et tout moisi à l'intérieur ! Beuuurk ! Je crache partout, c'est dégoûtant. Et La chance que j'ai fit venir une souri au même moment, c'est pas ce que je préfère en plus ça nourris pas beaucoup, mais bon... C'est déjà ça...

Je fais un bond sur le rongeur, le coince sous mes pattes, et donne un gros coup de dents sur elle. Tous ses muscles se relâchent, tout mouvements est stoppé. Elle est morte, c'est finit pour elle.

Après un petit tour à ravager la ville pour servir notre repas bien mérité, moi et ma petite bande, Placo, Kartor et Ethan, revenons dans ce que nous avons baptisé nos terres, les neutres. C'était là que nous avons élu domicile tous les quatre, ou plutôt, nous sous mon commandement bien sûr. Tout à coup, alors que je venais à peine de franchir la limite des terres neutres, une odeur inconnu nous arrêta, un intrus ! Un sourire se dessina sur mes lèvres, nous allons encore bien nous amusé ! Je laissa le loisir à mon bras droit de setter gordon, le soin de nous débusquer cette "proie" car je savais qu'il avait le meilleur odorat d'entre tous et ce fut à ce moment là qu'il nous mena à la vieille maison. Oh que de souvenir ! C'était là qu'une petite husky avait pénétré et que j'avais enfermé dans une couverture avant de la suspendre dans le vide ! Ah nostalgie quand tu nous tiens ! Bref, cessons les futilités et faisons donc "connaissance" avec ce petit curieux. Ma bande et moi passons donc la porte et tombons nez-à-nez avec un chiot au couleur noir et feu, un petit doberman qui avait à ses pattes la carcasse sans vide d'un rongeur. Mon regard se glissa aussitôt dans celui du chiot, ma queue dressée, je lui dit :

- Tiens ? Qu'avons nous là ? Je peux savoir ce que tu fiche ici gamin ?

J'entends des pas arrivés, mais j'ignore. Puis, au bout de quelques temps, les pas s'approchent. Et un chien se trouve devant moi... Il n'a pas l'air très commode... Oh la-la...
Puis après qu'il m'est dévisagé il me lance :

- Tiens ? Qu'avons nous là ? Je peux savoir ce que tu fiche ici gamin ?

Bon, bas ça commence bien... Là il a l'air de moins en moins commode. Si ça se trouve je me trouve sur son "territoire". Si c'est le cas je suis dans de sales draps. Au fond, je suis un peu apeuré. Mais devant, je reste forte, du moins en apparence.
Jusque là j'avais ignorer. Puis sans bouger la tête, je lève mes yeux vers la chienne. Haha, ça me donne un air flippant j'adore.

- Si ça ne te dérange pas, je t'avouerais que je suis une chienne. J'aurais préféré un "gamine" mais bon. Et comme tu peux le constater. Je me suis trouvé un endroit où manger mon mulot.

J'espère ne pas avoir était trop sèche. Je ne veut pas qu'il le prenne mal, ni qu'il me trouve "arrogante". Bref, au pire, je risque quoi ? Hein, qu'on se batte ? Pff, j'ai pas peur de la mort. J'en ai rien à faire. Même si, je préfèrerais quant même rester en vie. Mais si, je n'ai pas le choix, ce n'est pas ça qui va me terroriser.

- Si ça ne te dérange pas, je t'avouerais que je suis une chienne. J'aurais préféré un "gamine" mais bon. Et comme tu peux le constater. Je me suis trouvé un endroit où manger mon mulot.

Une chienne ? J'aurais le reconnaître face au niveau de stupidité...Elle m'avait l'air bien arrogante et c'était une chose que moi et mes compagnons allons régler assez rapidement. Peut-être se croit-elle ainsi assez téméraire pour me répondre ainsi tout ça parce qu'elle avait la couleur généralisé aux toutous de garde ? Je m'en contrefichais comme de ma première pâtée et il allait falloir lui apprendre que ici, ce n'était pas l'hôtel restaurant, elle aurait mieux fait d'aller bouffer son rat ailleurs. Le croisé shiba, le boxer et le setter qui m'accompagnaient avaient bien comprit de quoi il en retournait et aussitôt, ils encerclèrent la jeune chienne tandis que je m'avançais vers elle et lui répondit :

- Grosse erreur, ici, on n'y pose pas les pattes sans en subir les conséquences petite écervelée.

Le chien ne perdit pas son air mal-aimable. Bien au contraire, ma réponse ne fait que empirer la situation. Puis des chiens m'encerclèrent... Tss, si il croit que je vais partir par intimidation, il se goure !

- Grosse erreur, ici, on n'y pose pas les pattes sans en subir les conséquences petite écervelée.

Écervelée ? J'ai bien entendus ? Non, mais j'y crois pas ! Si il voulait avoir son territoire il n'avait qu'à être chef de meute dans uns des quartiers ! Maintenant, ici c'est une terre neutre, il n'a pas à imposer son autorité !

- Pardon ? "écervelée" ? Tss. Et puis, subir qu'elles conséquence ? Ce n'est pas ton territoire, nous sommes en terre neutre.

- Pardon ? "écervelée" ? Tss. Et puis, subir qu'elles conséquence ? Ce n'est pas ton territoire, nous sommes en terre neutre.

Oh mais c'était qu'elle se rebellait la demoiselle ! Bon, pas le choix les gars, va falloir lui apprendre quelques petit détails, comme quoi certes, ce terrain n'était pas mon territoire officiellement mais que j'en avais rien à faire, je m'étais imposé ainsi et que ce n'était certainement pas elle qui allait me contredire.

- Peu importe les terres neutres ou pas, je m'en fiche pas mal.

Aussitôt, moi même et mes trois compagnons bondirent sur la petite chienne pour la plaquer au sol, du moins ce que un ou deux décidèrent de faire tandis que les autres lui attrapèrent la peau par les crocs pour la mordre profondément, elle s'en souviendra de son séjour en ces lieux !

Le chien n'avait pas l'air ravis de ma rebellions, il avait plus l'air de vouloir m'en faire baver !

- Peu importe les terres neutres ou pas, je m'en fiche pas mal.

Il s'en fiche pas mal ? Ou la-la ! Je sens que je vais regretter d'être venus ici ! Et aussitôt, lui, et trois de ses compagnons me bondirent dessus ! Certain, avaient fait le choix de m'immobiliser, d'autres de me mordre... Mordre, au sang. Ils n'y allaient pas doucement, j'étais plaquée au sol, je ne pouvais plus rien faire. J'avais mal ! C'était horrible, de la torture ! Mais, en même temps je l'avais mérité, je n'avais qu'à pas être "isolante" j'ai la correction que je mérite.

- Bravo, le combat est égale...

Je tente de me débattre, je secoue les pattes dans tous les sens, et couine... Mais rien ne me soulage, la douleur est intenable !

- Bravo, le combat est égale...

Je m'avança face à l'ignorance qui était plaqué au sol par mes compagnons, n'avait-elle pas encore compris que j'en avais absolument rien à faire du sens moral et de l'éthique ? J'avais toujours agit sans aucune déférence, pourquoi cela changerait ? Et puis, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle même, elle n'avait qu'à pas venir en ces lieux. Alors d'accord, vous avez raison, elle ne le savez pas, mais vous savez quoi ? Je pense qu'après ça elle ne pourra plus l'oublier !

- Tu me voyais loyal peut-être ?

J'afficha un sourire narquois tandis que mes trois compères reprirent leur attaque face à la chienne, lui tirant la peau de leur croc, lui écartelant les pattes, l'écrasant sous leur poids...

- Tu me voyais loyal peut-être ?

Oui... Je pensais avoir affaire à quelqu'un de loyal. Apparemment je me trompais. Puis les chiens reprirent leur séances de tortures ! Ils m'étiraient les pattes, ils me tiraient la peau avec leurs crocs. J'étais écrasée sous leurs poids !

Puis, a force de gigoter, j'arrive à pincer avec le bout des crocs un des chiens. Lequel ? Je n'en sais rien. Alors, je sers de plus en plus fort, le plus que je peux, je tire, je tire. J'essaie de lui faire mal. Puis je sens un peu de sang couler, mais pas autant que eux m'en font perdre en une seule morsure.

J'ai horriblement mal, mais qu'est ce que je peux bien faire ? Je n'ai réussis qu'à attraper un petit morceaux de chaire. Qui s'y ça se trouve ne lui fait absolument rien. Enfin, c'est presque impossible, vus la puissance que j'ai dans ma mâchoire...

Alors que le petit manège continuait sur mon regard pour le moins divertit, je vis la machoire de la chienne se refermer sur une des pattes d'un de mes compères, une pattes brune qui vira sur le noir ? Kartor ? Le setter gordon ? Grosse erreur, ce dernier se mit à gémir de douleur et avait l'air de ne pas décidé de laisser passer un tel affront. Il s'écarta vivement et fonça sur la chienne en dégageant violemment les deux autres, prenant la femelle doberman à la jugulaire qu'il transperça de ses crocs, fou de rage, même les deux autres n'osèrent pas contredire ce geste. Je lâcha un petit soupire, cette chienne n'avait pas compris la leçon on dirait bien et venait de provoquer le pire de mes trois potos. Cependant, il ne fallait pas non plus que ce grand gaillard la tue, ce serait assez ennuyeux alors je m'avanças vers lui et la femelle et j'agrippa cette dernière au niveau des omoplates entre mes crocs pour la tirer brutalement de l'emprise de Kartor avant de la jeter violemment contre le mur de la maison. Le setter n'opposa aucune résistance mais grondait toujours d'énervement tandis que je m'avança vers la chienne pour voir si elle avait enfin compris.

Je n'étais toujours pas en fière position... Mal-grès ma prise, je n'étais pas à la meilleure place. Le chien que je mordais certainement, gémissait. Et s'écarta, avant de virer les deux autres chiens qui me tenaient. Et m'attaqua à la jugulaire... Je criais ma douleur... La, je perdait beaucoup de sang. Peut-être que de ne pas lui avoir attrapé la patte m'aurais un peu épargné...
Les deux chiens qui avaient étaient virés, brusquement par leur compagnons ne ripostèrent pas. Et au bout de quelques instants le chient me jeta contre un mur. Surement pour ne pas me laisser mourir ? Serais-ce de la pitié ? Je n'en sais rien, mais en tout cas. Cela m'avait sauvé.

Je regardais cette chienne contre le mur, l'a voilà bien arrangé, le sang se répandait sur le sol de ses multiples blessures, je suppose que cela lui servira de leçon, sinon, ben tant pis pour elle. Je n'irais pas jusqu'à la mort, je n'étais pas un assassin non plus mais si elle voulait souffrir, elle était tomber au bon endroit. Mes trois compères me rejoignirent pour voir un peu en quel piteux état ils avaient mis cette jeune femelle et le setter montrait d'ailleurs les crocs dans l'espoir que je lui donne l'ordre de l'achever mais au lieu de cela, je dis à la chienne :

- Bien, à moi que tu n'en veuille encore, je te conseille de quitter les lieux à toutes pattes ma mignonne !

- Bien, à moi que tu n'en veuille encore, je te conseille de quitter les lieux à toutes pattes ma mignonne !

Cette fois, je ne ferais pas ma maline... J'essaie de me lever, mais je n'arrivais pas à me lever, j'étais vidée de mes forces. Punaise ! Je sais pas ce que je vais faire ! Je vais quant même pas rester bloquée dans cette maison pourrit, avec des chiens qui veulent m'attaquer dont un qui veut me tuer ! J'adore ma vie. Pff, j'ai toujours beaucoup de chance moi.

Je ré-essaie de me lever, mais je m'écroule au sol...

Moi et les trois autres observèrent la chienne, celle si essayait de se lever, sans doute pour quitter les lieux mais elle n'y arriva pas, comme c'était pathétique, mais au moins, je savais qu'elle avait pigé la leçon et qu'elle ne remettra pas de sitôt les pattes ici. Voyant que décidément, elle n'y arrivait pas, je tourna mon regard vers Ethan, le boxer, ce dernier se dirigea vers elle et lui saisit la peau entre les omoplates avant de la traîner dehors et de l'y envoyer, voilà une bonne chose de faite, et il fallait mieux pour elle que je ne la recroise plus sur mon chemin de sitôt.

Bon, bas rp' finit ?

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