Sans coeur, douloureux passé [♠ Kia']

La lune est ronde, pleine, blanche écarlate. Elle est assise sur un tas d'ordure, ses yeux fixe avec mélancolie la pleine lune. La lune est accompagnée d'un magnifique tapis d'étoiles, toutes plus brillantes les unes que les autres. Ses yeux vairons la fixe sans relâche, elle est perdue dans ses pensées, toutes plus tristes que les autres. Elle pense à son père, à sa mère, ces deux loups qui ont fait d'elle une guerrière, une battante... Elle n'a jamais aimée qu'eux, et maintenant, alors qu'il ont rejoins les étoiles, elle n'aime plus. Et elle n'aimera jamais, plus jamais. Elle est témoin de l'enfer qu'est d'aimer les gens.

Ses yeux la brûle, elle sent les larmes montaient. Alors elle secoue la tête pour se reprendre et inspire à fond. Elle bloque l'air et d'un coup, lâche un puissant hurlement. Le crie des loups. Il n'y a que les loups sauvages qui savent se qu'il signifie, et elle en fait partie. Ses yeux la piquent de nouveau, et sans qu'elle ne puissent faire quoique se soit, une larme roule le long de sa joue. Alors, elle baisse la tête, et se l'essuie avec sa patte. Alors qu'elle se remet debout pour partir en vadrouille, elle voit une ombre devant elle. Une petite ombre. Elle plisse les yeux, s'approche doucement, à pas de loup ( logique, me direz-vous ). Elle tombe alors sur un loupiot. Il n'est pas de son clan, alors elle grogne, elle montre les crocs, elle s'approche de lui, le torse bombait, les yeux lançant des éclairs. Que fait se loup sur le territoire de son père ? Qui est-il pour venir perturbait le calme de la nuit, le calme de ses terres ? Le poil hérissait, elle lui crache rageusement :

- Que fait-tu ici, p'tit gars ?! T'as pas de chance, j'ai faim...

J'étais en train de me promener seule dans les rues où plutôt dans la décharge, j'avais faim et je connaissais personne. J'étais en train de fouiller dans les poubelles quand une ombre plus grande que moi était environ tout près de moi. Je restais calme malgré que ma peur venait un peu car ses mots me gelèrent les os.

- Que fait-tu ici, p'tit gars ?! T'as pas de chance, j'ai faim...

Je restais là sans rien dire, me manger ? Bon, on va rien dire et courir ? J'ai trop mal à ma patte à cause des imbéciles de maîtres qui m'ont battus.Je répondis en tremblotement un peu en disant.

-Je suis navrée, je suis un peu nouvelle dans le quartier, je ne voulais pas vous déranger, excusez moi...Mais j'avais faim et les décharges sont souvent remplis de bonnes choses à manger, c'estun chien qui me l'a dit (le chient est pnj).

Ma queue était enfoui sous mon ventre, je tremblais car je ne voulais pas déranger le chien. Ohh, non pour rien au monde j'aurais dérangé le chien et en plus c'est son territoire, je vais y passer mais je n'ai rien fait, je n'ai encore rien trouvé de bon à manger !

Elle fixait le jeune loup, les crocs dehors. Elle grognait puissamment. Elle voulait à tout prix l'effrayer. Elle voyait bien que le jeune loup n'était pas solide, il était maigre, et erré les rues à cette heure ci du soir n'était pas courant pour un loupiot pas courageux. Ambre songea qu'il devait être orphelin... Elle s'approcha encore, quand soudain, le jeune loup se mit à parler d'une voix chevrochante, apeurée :

-Je suis navrée, je suis un peu nouvelle dans le quartier, je ne voulais pas vous déranger, excusez moi...Mais j'avais faim et les décharges sont souvent remplis de bonnes choses à manger, c'est un chien qui me l'a dit.

Mais oui, mais oui, ma petite. Tu n'as pas tort, et le chien qui t'as dit ça ne t'as pas mentit, mais tu risque d'en payer le prix... Pense-t-elle méchamment. Un rire nerveux et démoniaque sort de sa gorge. Alors elle s'assoit en face de la petite, et, reprenant doucement son souffle, la fixe droit dans les yeux. Dans les deux yeux bleus de la loupiote, elle voit de la peur. Alors, elle perd son sourire. On dirait elle quand son père adoptif la trouver. Alors, elle se lève, tourne le dos à la petite et baisse la tête. Elle grogne doucement et d'une voix menaçante, crie à la louve :

- Tu sait quoi, j'ai plus faim... Tu peut disparaître. Dit moi juste, avant de partir. Tu n'as pas de parent. N'est-ce pas ?

Je ne dis rien et je restais tranquille de peur qu'elle me bouffe, je me sis crisper quand elle a fait une sûreté de rire démoniaque et sadique. Je n'aurais pu jamais croire mes oreilles quand elle me dit ces phrases la et cela épargnais ma vie.

Tu sais quoi ? Je n'ai plus fai. Tu peux disparaître...dis moi juste, avant de partir. Tu n'a pasde parents, n est ce pas ?

J ne dis rien mais je devais répondre car elle épargnais donc je pris une grand inspiration avant de dire sa réponse car elle attendait cela avant de partir donc je dis avec une voix calme et une voix de tristesse en même temps.

En effet, je n'ai plus de parents car ils sont en Sibérie et moi j'ai été kidnapper pour être acheter par des riches mais je me suis enfuis du quartier nord, était la que je résidais contre mon gré car ils m'avait acheter avec de l'argent. Les gens me frappaient à sang donc un jour j'ai décidé de fuir mais ma première tentative n'a pas marcher et je me suis retrouver ensanglantée encore plus mais la deuxième fois était la bonne donc je ne sais pas si je dois dire si ne vis encore et que je viens du quartier nord ou sie n'ai pas de quartier du tout comme je n'y résides plus et je suis une chienne de rues.

♠ Ambre regardait la lune, attendant la réponse de la jeune louve noire et blanche. Elle savait que trop bien ce que cela faisait d'être orpheline, seule la nuit, essayant de trouver à manger dans les poubelles du cartier. Les larmes sont aux bord de ses yeux vairons, mais elle secoue la tête, s'enlève l'idée d'être tendre une seconde avec la jeune louve. Vous imaginez, ça réputation de méchante serait alors réduit à néant, et ça, elle ne le supporterait pas. Jamais. Même pour une louve qui lui ressemblait tellement... Tellement... Elle secoue de nouveau la tête pour s'enlever ses pensées et entend la voix chevrochante de la petite lui adresser la parole de nouveau :

- En effet, je n'ai plus de parents car ils sont en Sibérie et moi j'ai été kidnapper pour être acheter par des riches mais je me suis enfuis du quartier nord, était là que je résidais contre mon gré car ils m'avaient acheter avec de l'argent. Les gens me frappaient à sang donc un jour j'ai décidé de fuir. Mais ma première tentative n'a pas marcher, et je me suis retrouver ensanglantée encore plus... Mais la deuxième fois était la bonne donc je ne sais pas si je dois dire si ne vis encore et que je viens du quartier nord ou si n'ai pas de quartier du tout comme je n'y résides plus et je suis une chienne de rues.

Le jeune lui fit pitier, et, regardant à droite et à gauche, elle se tourna vers la jeune loupiote. Elle s'approcha doucement d'elle, le regard rassurant, les oreilles plaçait sur sa nuque, la tête basse. Elle s'approcha encore, et, d'un bond, se retrouva derrière l'orpheline. Elle lui poussa gentillement l'arrière-train, l’insistant à bouger de là. Elle la poussa encore, et encore. Jusqu'à se que la petite bouge d'elle-même. Ambre essaya alors de la rassurer en lui parlant tendrement mais séchemment :

- Je n'ai pas l'habitude d'être gentille, alors profites-en. Vien avec moi, je vais te trouver un endroit pour dormir.

Je n'ai pas l'habitude d'être gentille alors profites-en. Viens avec moi,ne vais te trouve rue endroit pour dormir.

Je regardais la chienne et je la suivis en la remerciant par un geste de la tête. Je la suivis dans la décharge en attendant qu'elle s'arrête ou me montre un endroit pour dormir. Cela devait être bien de vivre dans la décharge, il doit avoir beaucoup de manger comme ici, il jette beaucoup de chose mais chut et suivant la en silence. Elle était déjà gentille de ne pas me croquer mais elle est encore plus gentille de me trouver un abri pour dormir. Alors soyons sage avec elle, sinon ce sera mal vu.

♠ Le jeune louve lui adresse un signe de tête, mais Ambre ne répond que part un petit grognement d'avertissement. Elle n'est pas gentille. Elle est agressive, solitaire, très solitaire, et vraiment... Elle n'aiderait personne si elle doit risquer sa vie. Oui, ce n'est pas bien pour une chef de meute, mais elle est ainsi. Alors, elle marche sans faire attention à la jeune loupiote. Elle fait comme si elle n'était pas là, pour ne pas se faire remarquer. Vous imagez Ambre, la vielle garce, se trimbaler une loupiote ? Elle non. C'est alors qu'elles arrivent prêt d'une poubelle. Ambre s'arrête devans, prend quelques centimètres d’élan et saute dessus. Elle s'assoit sur le couvercle et observe l'horizon. C'est son tour de garde, elle ne peut pas emmener la petite "chez elle". Alors, elle baisse la tête pour croiser le regard de la jeune, et de suite, relève la tête pour observer les alentours. Au bout de quelques minutes à mariner, Ambre parla séchemment :

- Bon, arrête de me regarder comme si t'étais battue ! C'est mon tour de garde, on ne peut pas rentrer maintenant !

C'est alors qu'elle se rendit compte de sa bêtise. Si. Bien sur que si, cette petite était battue. Alors ambre baissa les oreilles et renifla fortement. Pff... Tourner sept fois la langue dans sa bouche avant de parler ! Alors, elle baissa les yeux vers la jeune husky, restant droite. Elle soupira d'exaspération et elle reprit d'une voix plus douce, mais pas pour autant désoler :

-Oui, je sais. T'es vraiment battue. Elle hésita longuement et doucement, laissa ce mot s'échapper de sa bouche : Pardon...

Je ne dis rien et je continuais de suivre en silence la chienne. Elle monta agilement sur la poubelle quand je la regarda mais elle pensait que je la regarda dun air battue....et elle me répond sèchement darreter de la regarder comme sa puis elle escusa cas elle savait que j'étais battue.nje lui dis simplement, c'est pas grave puis je m'assieds dans un coin en essayant bien sur de me cacher pour ne pas que la réputation de miss se fasse en mauvaise pour elle simplement à cause qu'elle me trmballe.

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